Las Vegas, day 1

Welcome to fabulous Las Vegas
Mardi 27 septembre 2011

LE MERCREDI 14 SEPTEMBRE

Grasse mat’ pour pratiquement tout le monde. Sylvestre se lève un peu avant et sera rejoint par le reste de l’équipe, vers 11h au buffet à volonté pour le brunch.
Et on en profitera bien ! Il y’a vraiment de tout : des viennoiseries,  de la charcuterie, de la bidoche, du poisson, des petits plats, des plats Japonais, des jolis desserts, des glaces, etc…

Après un tel festin, pas besoin de manger le midi.

Ensuite, opération trouver un Avis pour régler notre problème de vidange. Et on va perdre pas mal de temps, vu qu’on aura pas pris le GPS et qu’on aura pour se guider, qu’une capture d’écran de google map sur iPhone. Bref, on finira dans le parking de l’hôtel Paris (d’après le plan c’était là). Au final, ils ne font que Hertz. Mais il y’a un Avis au Bellagio, en face.

Le mec du Avis nous dit que c’est normal si on a ce message, quand on a récupéré la voiture à SF, elle devait faire la vidange dans 300 miles… Le mec s’excuse et ni une, ni deux, il nous file une voiture de remplacement. Une Chevrolet Traverse. Quasiment la même voiture vu de l’extérieur. Et exactement la même dedans en fait. En peut être un peu plus luxueux. Et surtout, c’est juste la 2ème fois qu’elle est louée. On ne perd pas au change. C’est juste qu’on aura perdu pas mal de temps  à chercher Avis.

Retour rapidos à l’hôtel – juste à côté mais ça reste relatif avec les feux et tout le bordel de parking. On a juste le temps de se préparer vite fait et on attaque la soirée d’anniversaire de Laurent.

A la base, on voulait faire un tour de la ville en hélico, mais le temps ne permettait pas de voler au moment où on voulait faire la réservation, un peu plus tot dans l’après-midi. Ils avaient reportés les vols du jour au lendemain en plus.

Je ne veux pas critiquer, mais c’est un peu des tapettes les pilotes à Vegas, 3 pauvres nuages et ça reste au sol. Le pire étant que le soir, c’était super dégagé. C’est en plus des nazes au niveau de la météo… Bref, on s’est rabattu sur un tour du « strip » en limo. Plus classique c’est sur.

En bas de l’hôtel nous attends donc Damian, notre chauffeur avec une « petite limo ». Ils nous demandent ce qu’on veut faire. On lui demande si on à le droit à du champagne. Non, pour ça faut qu’on aille en acheter. Il nous dépose donc devant un petit magasin « liquors ». Nous ne sommes pas la seule limo et il doit souvent ramener ses clients ici vu comment il est accueillit.

In the limoIn the limo 2Old Las VegasDamian et Laurent

 

 

 

 

 

On repart ensuite une coupe pleine de bulles à la main. Direction le fameux panneau « Welcome to fabulous Las Vegas » pour une photo souvenir, hautement pas originale.

On repart sur le strip, direction le « vieux » Vegas, là où les premiers casinos ont été construits. On papote un peu avec Damian en chemin. C’est apparemment un type très serviable qui peut nous fournir tout type de prestations, surtout pour la nuit… Il ne travail pas souvent à cette heure là d’habitude. Il nous laisse sa carte si jamais plus tard dans la soirée, on a besoin d’un chauffeur.

Arrivé là bas, on descend de la limo pour une petite balade. « There’s a lot of stuff and shit here » d’apès notre guide. Il ne fait pas encore nuit donc on ne peut pas profiter sur plafond illuminé. Damian nous propose de faire le parcours en tyrolienne, un truc « pretty badass » selon ses dires.

Il y’a pas mal d’animations, des magiciens de rues, des filles déguisés genre Lido, des faux Elvis plus ou moins réussis. Arrivé au bout, il y’a une fille qui danse sur une scène devant sa propre sono. Des gens regardent et 2 ou 3 plus avinés que les autres se trémoussent aussi.

Frozen Magarita pour le birthday boy et on entre dans un des casinos pour faire un black jack, plus attiré par les croupières que par le cadre. On ne vas pas vous mentir, on n’a pas fait fortune mais on a du jouer une bonne demie-heure.

Retour à la limo et au champagne, Damian nous propose des entrées pour un club mais on a une réservation pour le resto de l’hôtel, donc on passe.

Le restaurant – enfin un des restaurants de l’hôtel – s’appel le STK (steack pour ceux qui luttent). Musique un peu forte, ambiance plutôt chicos, vieux messieurs avec filles plus jeunes vêtues comme si la clim’ étaient coupé, etc…

Bon vieux franchouillard, on testera le fois gras. Erreur. Enfin disons qu’on le voyait pas comme ça. Gros « french toast » avec du foie gras cuit. Entrée préférée de notre serveuse apparemment.

Birthday Boy n' The Frozen MargharitaLe "foie gras"A la cool

 

 

 

 

 

Par contre, après, les steacks ont mis tout le monde d’accord. C’était vraiment bon, ça se coupait comme du beurre. Du coup, c’est parti assez vite.

Après le resto, opération : il nous faut de l’argent ! Il y’a un ATM Bank Of America « dans le coin ». Pourquoi celui-ci et pas un autre ? Sylvestre n’est pas taxé sur ces retraits chez B.O.A. En route.

On ne trouve pas de suite et on nous explique qu’il faut aller chez M&M’s, et qu’il est au 4eme. On rentre donc dans le magasin, 4 étages consacrés au monde merveilleux « qui fond dans la bouche mais pas dans la main » : des mugs, des bonbons, des serviettes, casquettes, t-shirts, etc…

HIGH FIVE !Jo, pilote de Nascar, Team M&M's

 

 

 

 

 

Après avoir fait le plein de cash – opération qui peut vite mal tourner à Vegas – direction l’hôtel/casino « Rio » pour aller sur le toit où se trouve une boite. Un petit tour en voiture s’impose donc.

Sur le toit du Rio

 

 

 

 

 

On arrive peut être un peu tôt, il n’y a pas encore foule. Mais ça va se remplir assez vite et l’ambiance sera là. Jolie vue ! Par contre, hors de question d’envisager de parler, le son est vraiment fort et certains morceaux bien pêchu te font bien trembler les guibolles.

Ensuite on ira ailleurs.

Et on rentrera au petit matin.

- Aurélien

2 Commentaires:

Eh Aurelien, c’est pas du croustillant çà !
Faut raconter du croustillant, du rêve, de l’inoubliable … sinon, nous serons obligés de te faire parler

Les faits sont relatés avec une grande objectivité et une extrême précision qui fait honneur au grand journalisme d’investigation. Je ne vois vraiment pas ce qu’on peut faire de plus…

Aurélien

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